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vendredi 23 décembre 2011

Le cloud computing suscite l'engouement des PME

Les Echos du 23/12/2011

Les fournisseurs de services informatiques multiplient les offensives commerciales pour séduire les petites et moyennes entreprises, souvent peu équipées en informatique, dont le profil facilite ce basculement « dans les nuages ».

http://www.kpmg.com/FR/fr/IssuesAndInsights/ArticlesPublications/Press-releases/Pages/20111208-Le-Cloud-Computing-en-voie-d-adoption.aspx

Le cloud computing progresse lentement, mais sûrement. D'après une étude récemment publiée par le cabinet KPMG, 80 % des entreprises françaises «  ont ou vont démarrer » un projet de migration de leur informatique « dans les nuages » en 2012. Si l'engouement pour le « cloud computing » a tendance à se confirmer, du moins selon les études, certaines sociétés seraient plus enclines que d'autres à adopter ces nouveaux services. C'est le cas des petites et moyennes entreprises. «  Il y a une plus grande réceptivité de la part des PME, comme des entreprises de taille intermédiaire, pour ce type d'offres cette année », confie Laurent Gobbi, associé et responsable de l'activité informatique chez KPMG France. «  L'appétence est vraiment perceptible depuis le second semestre », ajoute Alex Rigaldo, responsable des offres cloud computing chez Orange Business Services (OBS). Les atouts naturels du cloud expliquent cet engouement.

Le concept consiste à jouir d'une puissance informatique à la demande sans avoir à investir lourdement dans des infrastructures et des logiciels, mais en s'acquittant simplement d'un forfait et en acceptant que les données soient gérées par un prestataire extérieur. «  C'est tout l'intérêt du cloud pour les petites entreprises : goûter à l'informatique des grandes, mais à moindre coût », résume Hélène Auriol, directrice de la division PME-PMI chez Microsoft France. Et le géant du logiciel en profite. Au début de l'été, il a lancé Office 365, son offre de logiciels de bureautique et de collaboration dans le cloud destinée aux petites entreprises. Cinq mois plus tard, «  Office 365 est en passe de devenir le service qui s'est vendu le plus rapidement en France pour Microsoft, confie Ariane Gorin, responsable de la division Office en France. Les services en mode cloud permettent aux PME de rattraper leur retard technologique, sans mobiliser toute leur trésorerie ». Le groupe américain estime que les économies générées peuvent atteindre jusqu'à 50 % du budget informatique.

Autre atout du  cloud : il permet de se développer plus facilement à l'étranger. «  Il n'est plus nécessaire de déployer une infrastructure technologique complète, avec des serveurs et des outils réseau, pour s'implanter sur un nouveau marché. Une connexion Internet peut suffire pour lancer une activité », explique Alex Rigaldo, chez OBS.

L'offensive des opérateurs

Microsoft n'est pas le seul à se positionner sur le créneau prometteur des PME. Les opérateurs télécoms multiplient les offensives commerciales. Fin novembre, SFR Business Team a indiqué qu'il allait démarcher plus activement les PME pour leur vendre des services en mode « cloud ». Dans la foulée, Orange Business Services présentait sa nouvelle offre de « forfait informatique », qui permet de bénéficier via une simple connexion Internet d'un système d'information complet (logiciels, applications, stockage, etc.) géré par l'opérateur. Les opérateurs profitent de la densité de leur maillage géographique et de leur proximité naturelle avec les entreprises, auxquelles ils fournissent déjà des solutions télécoms. Selon le cabinet Pierre Audoin Consultants, OBS serait ainsi le premier fournisseur de services de cloud computing en France.

Le développement de ces services soulève cependant certaines interrogations dans les PME. Celles-ci s'inquiètent notamment de la sécurité des données. «  C'est assez paradoxal, remarque pourtant Hélène Auriol, chez Microsoft. Car en migrant dans le cloud, les PME vont bénéficier d'un dispositif de sécurité plus important que ce dont elles disposaient auparavant, avec des technologies mises à jour régulièrement. » Chez Orange, on met l'accent sur la transparence des offres pour tenter de rassurer les entreprises. «  Nous pouvons assurer aux clients que leurs données informatiques sont hébergées sur les data centers du groupe, en France », précise Alex Rigaldo.

jeudi 22 décembre 2011

Aider à améliorer Dynamics CRM

Pour ceux qui ont des demandes pour améliorer Dynamics CRM, Microsoft a mis en place une plate-forme d'échange. On peut y voter pour que les demandes d'améliorations intéressantes soient dans la prochaine version du CRM.

https://connect.microsoft.com/dynamicssuggestions

Création d'un bouton dans un formulaire

Dans cette exemple, nous allons remplacer le champ Salutations du formulaire Contact par un bouton.

Créer une Web Resource nommée new_bouton de type jscript contenant le code suivant.

/* sample */
/* 'salutation','ButtonText','100px','functionName','Button Label' */
function ConvertToButton(fieldname, buttontext, buttonwidth,clickevent, title){
 
 /* check if object exists; else return */
  if (document.getElementById(fieldname) == null)
 {
   return;
  }
 
 
  functiontocall=clickevent;
  crmForm.all[fieldname].DataValue = buttontext;
  crmForm.all[fieldname].readOnly = true;
  crmForm.all[fieldname].style.borderRight="#3366cc 1px solid";
  crmForm.all[fieldname].style.paddingRight="5px";
  crmForm.all[fieldname].style.borderTop="#3366cc 1px solid";
  crmForm.all[fieldname].style.paddingLeft="5px";
  crmForm.all[fieldname].style.fontSize="11px";
  crmForm.all[fieldname].style.backgroundImage="url(/_imgs/btn_rest.gif)";
  crmForm.all[fieldname].style.borderLeft="#3366cc 1px solid";
  crmForm.all[fieldname].style.width=buttonwidth;
  crmForm.all[fieldname].style.cursor="hand";
  crmForm.all[fieldname].style.lineHeight="18px";
  crmForm.all[fieldname].style.borderBottom="#3366cc 1px solid";
  crmForm.all[fieldname].style.backgroundRepeat="repeat-x";
  crmForm.all[fieldname].style.fontFamily="Tahoma";
  crmForm.all[fieldname].style.height="20px";
  crmForm.all[fieldname].style.backgroundColor="#cee7ff";
  crmForm.all[fieldname].style.textAlign="center";
  crmForm.all[fieldname].style.overflow="hidden";
  crmForm.all[fieldname].attachEvent("onmousedown",push_button);
  crmForm.all[fieldname].attachEvent("onmouseup",release_button);
  crmForm.all[fieldname].attachEvent("onclick",functiontocall);
  crmForm.all[fieldname].style.lineHeight="14px";
  crmForm.all[fieldname+'_c'].style.visibility = 'hidden';
  crmForm.all[fieldname].title=title;
  window.focus();
  
 
 function push_button(){
   window.event.srcElement.style.borderWidth="2px";
   window.event.srcElement.style.borderStyle="groove ridge ridge groove";
   window.event.srcElement.style.borderColor="#3366cc #4080f0 #4080f0 #3366cc";
  }
 
 function release_button(){
   window.event.srcElement.style.border="1px solid #3366cc";
  }
 }
 
 
 
/* now the definition of the function to call on button click */
function FunctionName(){
alert("coucou"); 
}

Dans le formulaire Contact, ajouter l'appel de la fonction ConvertToButton sur le OnLoad avec comme paramètres : 'salutation','ButtonText','100px','FunctionName','Button Label'.


Après publication des modifications, nous obtenons l'écran suivant sur un contact.

Dassault Systèmes se retire du projet de cloud computing français

Le Monde du 22/12/2011

Le concepteur français de logiciels Dassault Systèmes a décidé de se retirer du projet de services de stockage informatique dématérialisé Andromède. Ce grand projet de cloud computing à la française est porté par un consortium mis en place le 1er août qui se compose de l'Etat, Orange, Thales et Dassault Systèmes. Ce dernier se retire du projet suite à des tensions avec Orange, selon La Tribune.
Les ex-partenaires se disputaient notamment à propos de la durée d'une clause de non-concurrence entre Andromède et ses promoteurs. Dassault Systèmes la souhaitait la plus longue possible. Autres pierres d'achoppement : l'identité du futur dirigeant et les tarifs appliqués par Orange dans le cadre du consortium, selon le journal.


A LA RECHERCHE DE NOUVEAUX PARTENAIRES
Contactée par l'AFP, la direction de Dassault Systèmes s'est refusée à confirmer ou à commenter l'information dévoilée jeudi matin par La Tribune. Mais les groupes Orange et Thales ont confirmé le retrait du concepteur de logiciels du consortium.

"Nous regrettons la décision de Dassault Systèmes, mais nous réaffirmons notre volonté de poursuivre le projet et nous cherchons un ou plusieurs nouveaux partenaires", a-t-on indiqué à la direction d'Orange.

Thales a pour sa part dit "regretter la décision de Dassault Systèmes de se retirer du projet Andromède à quelques semaines de son démarrage opérationnel".

LA FRANCE À LA CONQUÊTE DU MARCHÉ DU CLOUD COMPUTING
"Nous avons toujours la volonté de créer un grand acteur français et européen de l'infrastructure du cloud computing et nous étudions avec nos partenaires la possibilité de compléter le tour de table et poursuivons notre stratégie de conquête du marché du cloud computing", a ajouté Thales.

Initié en 2009 dans le cadre du Grand emprunt, ce projet de partenariat public-privé doit fournir des systèmes sécurisés pour l'hébergement des données numériques, via la création notamment de grands "data centers", ces hébergeurs de données dématérialisées.

Selon un document confidentiel dont l'AFP avait obtenu copie, l'Etat devait injecter 135 millions d'euros dans ce projet via la Caisse des dépôts, tandis qu'Orange et Dassault Systèmes devaient mettre chacun 60 millions d'euros et Thales 30 millions.

L'objectif était de créer "de grandes centrales numériques européennes" pour y stocker les données stratégiques des PME, grands groupes et administrations, et donc de "garantir que les données allaient rester sur le territoire français".

samedi 17 décembre 2011

Microsoft rend Office 365 compatible avec le Patriot Act et les exigences européennes

Le Monde Informatique du 16/12/2011

Microsoft a indiqué avoir pris des mesures pour rendre Office 365 plus conformes aux exigences réglementaires relatives à la protection des données. Ces garanties se traduisent par des engagements contractuels et des fonctionnalités spécifiques. Microsoft pense que cela servira à rassurer les clients qui se préoccupent de la localisation des données des applications clouds.
Microsoft veut rassurer les futurs clients de ses offres de collaboration et de communication en ligne sur leur compatibilité avec les différents cadres réglementaires, européens ou américains. L'éditeur a pris certaines mesures dans ce sens. Quand un prestataire vend une solution Office 365 en Europe, Microsoft devra signer des « clauses types » développées par l'Union européenne, qui établissent des garanties et des procédures pour protéger les données lorsqu'elles sont transférées hors de l'UE. Dans les pays européens qui ont des exigences supplémentaires, la firme de Redmond va inclure ce qu'elle appelle « un accord sur le traitement des données » qui va au-delà des règles inscrites au sein des directives sur la protection des données.

Aux États-Unis, pour les contrats avec les sociétés relatives à la santé qui doivent se conformer au Health Insurance Portability and Accountability Act (HIPAA), Microsoft va inclure un Business Associate Agreement (BAA) émis par le ministère de la santé américaine pour garantir la protection des données des patients. Stephen McGibbons, CTO de Microsoft pour la région EMEA a déclaré « nous voulons aider les clients à avoir confiance et se sentir en sécurité dans le cloud, en respectant les obligations du HIPAA ou des directives européennes sur la protection des données ». Si les entreprises sont séduites par les applications en mode hébergé, celles gravitant autour de la santé ou de la finance et qui sont fortement réglementées, hésitent à adopter ces logiciels qui ne se conforment pas aux cadres réglementaires.

L'éditeur a également relancé Office 365 Trust Center, un site web donnant des informations sur la confidentialité des produits et les différentes politiques de sécurité. Il a été rénové pour être plus facile d'accès.

vendredi 16 décembre 2011

mercredi 7 décembre 2011

TechDays 2012

Voici les sessions de l'édition 2012 concernant Dynamics CRM :

Microsoft Dynamics CRM : le SoLoMo pour sortir du lot (DYN201)
Animé par Olivier Taraba, Sophie Jacquet

Microsoft Dynamics CRM: stratégie multi canal (Email Marketing) et multi-supports (Smartphones, Tablettes) intégrée à votre environnement CRM. (PAR220)
Animé par Fabien Baudlot, Jacques Prothon, Imad Hajjar

Microsoft Dynamics CRM en tant que plateforme de développement (DYN205)
Animé par Jean-François Gaudy, Sophie Jacquet

Microsoft Dynamics CRM Online & Office 365 : les secrets d'une convergence technologique à l'ère du cloud (DYN302)
Animé par Yosh Smadja, Laurent Maurer, Sophie Jacquet

De plus en plus de SharePoint, de Dynamics CRM et d'iPad en entreprise ? Faites les communiquer ! (PAR222)
Animé par Jean-Paul Muller, Thibaut Cavin

dimanche 4 décembre 2011

Face au Patriot Act, l'Europe pousse à un cloud de stockage européen

Le Monde du Cloud du 02/12/2011

Les Européens qui s'inquiètent du Patriot Act américain préfèrent garder leurs données dans l'UE. Deux entreprises suédoises, Severalnines et City Network, se sont alliées pour offrir à leurs clients un refuge contre les possibles répercussions de cette loi.

L'Union européenne, préoccupée par l'intrusion des lois américaines, a créé un nouveau marché pour des services européens de cloud computing. Un récente enquête a indiqué que 70% des Européens se préoccupaient de la protection de leurs données en ligne et de la sécurisation de ces dernières dans les entreprises. A présent, deux entreprises suédoises, Severalnines et City Network ont commencé à promouvoir leurs services nouvellement fusionnés comme «un refuge » contre le Patriot Act. En vertu de cette loi, les données des utilisateurs européens des services cloud américains peuvent secrètement être saisies par des agences fédérales.

« Nous pensons qu'un service qui est détenu, qui est exploité localement dans l'UE et qui est entièrement compatible avec la législation européenne de protection des données, sera très attrayant pour les entreprises européennes », a déclaré Johan Christenson, PDG de City Network. Il a ajouté que les entreprises américaines qui réalisent des opérations sur le sol européen bénéficieront d'une plus faible latence avec une solution hébergée localement . Cette ouverture du marché est également exploitée par d'autres entreprises tels que DNS Europe, Colt et MESH. Ce dernier encourage fortement sa localisation en Allemagne et la séparation des données en stricte conformité avec les lois allemandes de protection des données.

Echec du Safe Harbor Agreement

Les législateurs européens sont également préoccupés par la protection accordée aux données personnelles dans le cloud. « Il est crucial, pour les entreprises et les utilisateurs européens, que les données dans le cloud soient stockées dans un pays sûr », a pour sa part estimé Philippe Juvin, un membre du Parlement européen.

L'Europe et les Etats-Unis ont tenté de surmonter la méfiance des utilisateurs avec le Safe Harbor Agreement, mais il a largement été considéré comme ayant échoué. Selon l'accord, les organisations américaines auto-certifient leur adhésion aux principes de la sécurité des données, mais il existe très peu d'applications et certaines lois américaines, en particulier le Patriot Act, peuvent remplacer ses principes. Des juristes, tels que Theo Bosboom de Dirkzager Lawyers, considèrent que le Safe Harbor Agreement est dépassé. « J'ai bien peur qu'il n'ait plus grande valeur, puisqu'il semble que les entreprises américaines qui proposent de stocker les données dans un cloud européen seront tout de même obligées d'autoriser le gouvernement américain à y accéder sur la base du Patriot Act », explique-t-il.

Des mesures sur le cloud dans la nouvelle directive européenne

Sophia In't Veld, du MEP, n'est également pas une adepte de cet accord. Pour elle, le Safe Harbor Agreement était une bonne idée, mais il n'a pas fonctionné. Quand il a été mis en place, les temps étaient différents et il est presque devenu redondant avec le progrès technologique. « Nous sommes conscients des problèmes des zones de juridiction entre l'UE et les Etats-Unis », a-t-elle exposé. « Or, un système comme le Safe Harbor Agreement n'est pas un concept suffisamment solide pour pouvoir résoudre ces problèmes ».

L'UE est actuellement en pourparlers avec les Etats-Unis sur les transferts de données sensibles à travers l'Atlantique et une nouvelle directive européenne sur la protection des données sera publiée début 2012. La commissaire européenne en charge de la justice Viviane Reding a promis d'y inclure des mesures pour couvrir les données dans cloud mais il semble que les services cloud européens puissent y voir une opportunité marketing.

vendredi 2 décembre 2011

Mise à jour du SDK pour CRM 2011: 5.0.8

Version: 5.0.8

Assemblies/Services:
- Nouveaux services URL pour l'édition Office 365 du CRM Online
- CrossRealmIssuerEndpointDictionary a été remplacé par CrossRealmIssuerEndpointCollection.

Mise à jour d'articles :
- Guide du style : spécification du style de l'interface utilisateur pour Activity Feeds et Windows Phone.
- Information sur l'authentification Office 365.
- Intregration, accés et provisioning d'Office 365.
- Tactiques pour supporter le multi langage pour les composants d'une solution.
- Fournit plus de détail sur les paramètres CanModifyAdditionalSettings pour EntityMetadata et AttributeMetadata.
- Comment configurer le SiteMap pour montrer une vue spécifique d'une entité.
- Le merge des solutions managées.

Mise à jour des outils :
- Site Map Editors
- Portal developer toolkit et les extensions developpeurs.
- Helper code pour supporter l'authentification Office 365 et fédérer les utilisateurs avec CRM Online.
- Les exemples Visual Studio sont mis à jour pour référencer System.DirectoryServices.AccountManagement.

Mise à jour des exemples de code :
- Utilisation du Helper code avec les nouvelles fonctionnalités.
- Auditer les acces utilisateurs.
- Suppression en block d'enregistrement suivant des critères.
- Créer, lire, mettre à jour et supprimer en utilisant le REST Endpoint avec Javascript et jQuery.
- Sérialisation d'entité.